La démission surprise du ministre Nicolas Hulot n’est pas vraiment le sujet sur lequel nous allons nous attarder, les médias l’ont suffisamment fait. Ce qui nous intéresse c’est ce qu’il n’a pas pu entreprendre durant ses 16 mois passés au gouvernement, notamment dans le domaine des énergies renouvelables.
L’écologie tout le monde en parle, mais maintenant il faut agir plus !
Le ministère de l’écologie n’est pas le plus simple à gérer. Les rapports de force entre les lobbies et la protection de l’environnement sont toujours très importants, par conséquent, il faut bien plus que de grandes idées pour changer les choses dans l’état. Comme l’a dit Emmanuel Macron lors de son déplacement au Danemark : « les français sont des gaulois réfractaires« . Ce n’est pas tout à fait faux, si l’on s’en réfère aux refus populaire de certaines réformes. Bref, le nouveau ministre de l’écologie a du pain sur la planche et ne fera sans doute pas de révolution sans y laisser des plumes.
Malgré tout, il faudrait tout de même prendre conscience que la maison brule, notre terre est en fusion, le réchauffement climatique, les pollutions des océans, sont deux grands sujets sur lesquels il y a lieu de s’inquiéter.
Des aides pour investir dans les énergies renouvelables
Certaines aides existent, mais cela ne suffit peut-être pas pour dynamiser le secteur de l’énergie solaire, il faut en effet savoir que seule la pose bénéficie d’aide de l’état.
Pourtant, le panneau solaire a vraiment de quoi être bénéfique pour lutter contre le réchauffement climatique, c’est une alternative idéale aux énergies fossiles, qui plus est permet à ses utilisateurs de réaliser des économies importantes sur leur facture d’énergie.
Est-ce que le remplaçant de Nicolas Hulot songera à proposer une campagne de communication plus soutenue concernant les atouts des énergies renouvelables, l’autoconsommation solaire ? Voire des aides fiscales pour aussi susciter l’intérêt d’une plus large population ? Les chantiers dans le secteur de l’écologie et de la protection de l’environnement sont tellement conséquents, ce n’est pas de la politique, pourtant c’est la politique qui décide bien de notre avenir, de la façon dont on traite notre planète…
